La gestion des frênes infestés par l’agrile du frêne représente une dépense de plus pour les municipalités. Certaines ont trouvé une façon originale d’éliminer les frais de coupe et de gestion des arbres coupés, voire réaliser un petit profit en vendant les arbres debout à l’encan. À Montréal seulement, d’ici 15 ans, il est estimé que plus de 200 000 frênes pourraient être tués par l’insecte. Il importe donc de développer des solutions pour à la fois valoriser ce bois et minimiser l’impact de cet insecte ravageur sur les finances publiques. Lien